jeudi 2 juin 2011

L’AFFAIRE RACHID MABED

Innocent, un militant actif pour la défense des droits de l'homme, a été jeté en prison pour un crime fictif suite à une combine "Préfecture-Police-Justice". Ancien membre d'Amnesty international du groupe 231 et membre de bureau de l'Amicale des algériens en Europe, son vrai crime est d'avoir été été un militant déroutant pour le chef de la police des Alpes maritimes.

En un peu plus d'une décennie, Rachid MABED a dénoncé 27 bavures policières dont un meurtre par arme à feu tiré sur la nuque d'un sans papier Algérien (M. LOUCIF de constantine) à l'intérieur du centre de rétention de Nice, une affaire de pédophilie dans laquelle était cité personnellement le doyen des juges d'instruction qui avait la charge de ce dossier de pédophilie et un grave raté de la DST locale, dans une affaire de terrorisme.


Pour chacun des abus policiers, Rachid MABED a envoyé des centaines de courriers à destination de toutes les institutions civiles et morales de France, il a organisé une manifestation dans les rues de Nice pour dénoncer l'assassinat de M. LOUCIF dans les locaux de la police et il a créé un comité de soutien efficace pour libérer M. Miloud BENCHIHA de la prison de la santé où il croupissait pour un delit de terroriste fictif sans preuve. Le résultat fut immédiat car Miloud BENCHIHA a vite été libéré.


Cette libération fut l'action de trop pour les autorités xénophobes qui se devaient d'éliminer définitivement ce militant faute de voir leur politique dévoilée au grand jour.
De surcroît, ces dénonciations répétitives qui ont été à l'origine de certaines enquêtes des services, devenaient insuportables pour les autorités racistes locales.


Il fallait à tout prix agir pour mettre un terme aux activités militantes dévastatrices de ce militant irreprochable qui empêchait le nettoyage éthniques des envahisseurs algériens désignés comme responsables de l'insécurité.

La côte d'azur se voulait être blanche et compatible qu'avec la chrétienneté du chef de la police nationale qui s'est vanté publiquement d'avoir fait ses classes en Algérie coloniale.


Soutenu par le chef de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, le patron de la police M. Pierre PETITJEAN, a usé de son influence au sein de l'appareil judiciaire dont faisait partie les juges, Jean Paul Renard et l'épouse de son subordonné Mme Christine LORENZINI, pour fabriquer un coupable.

INTRODUCTION

Dans une démocratie digne de ce nom, il est impossible d'admettre que la justice puisse un jour devenir un moyen efficace pour une oligarchie locale afin d’éliminer un militant qui gêne énormément les autorités locales par ses nombreuses dénonciations d’atteintes aux droits de l'homme.

Le préambule de la déclaration universelle des droits de l'homme, le principe théorique de la séparation des pouvoirs, le respect de la déontologie, l'éthique implicite des juges et le cocorico des démocrates français qui s'accommodent de la façade lumineuse de la France respectueuse des lois de la République, servent toujours d'arguments pour prouver qu'il ne peut pas exister de pratique illicite au sein de la justice.

Cependant, lorsque des éléments de preuves irréfutables viennent justifier une polémique sur un dysfonctionnement avéré alors il devient évident que l'affaire incriminée devient aux yeux de la magistrature et des autorités de la chancellerie, une injustice rare comme ce fut le cas pour l'affaire d'Outreau.

Le Code Pénal français stipule: " mieux vaut 100 coupables en liberté qu'un seul innocent en prison".

Tout le monde s'émeut d'une incarcération injuste, d'une condamnation inique et de la souffrance d'une personne innocente mais l'exonération de la responsabilité des magistrats, vient vite montrer les limites d'un appareil judiciaire qui reste livré à lui-même.

Voilà le quitus qui fait du système judiciaire français, une propriété personnelle des juges qui ne tolèrent jamais une ingérence sur les dysfonctionnements ou les abus volontaires d'autorité.

En France les quatre pouvoirs émergeant, n'aiment pas se mesurer entre eux au point où la déontologie finie par devenir un principe de négociation et d'arrangement, qui assure à chaque système d'imposer ses règles avec ses déviations.
Nous ne sommes pas dans un système d'exclusion réciproque entre ceux qui violent les lois de la république et ceux qui les respectent profondément mais dans un blog complémentaire ou chacun tire profit de la négligence de l'autre.

PERSONNALITE DE RACHID MABED

Monsieur Rachid MABED est né à ALGER (Algérie).

M. MABED est marié, père de deux enfants mineurs, l’un est né à Kouba en 1991 et l’autre est né à Nice en 1994.

Actuellement, M. MABED a saisi le tribunal pour obtenir le divorce de sa femme infidèle avec son soit disant ami Monsieur Malek BOUALEM (Docteur de l'université de Nice).
Cet habitué de la traîtrise, avait déjà trahi sa compagne PASCALE qui l'avait soutenu durant ses études post universitaires et c'est en toute logique qu'il a trahi Rachid qui lui a fait obtenir par intervention, une bourse d’études au moment ou il était sans le sous. Passer des soirées dans le lit conjugal pour un homme qui se dit aujourd'hui musulman pratiquant, relève de la pratique du diable.


Rachid MABED est séparé de son ex épouse depuis 1998 et cette dernière tente de bloquer la procédure de façon vénielle.

Malheureusement, M. MABED n’a pas vu grandir ses enfants à cause de son inique incarcération et il n'a plus eu de contacts avec eux depuis 1998.

Il est titulaire d’un Doctorat délivré par l’Université de Nice et titulaire du certificat de la Communauté européenne délivré par l’Institut Européen des Hautes Études Internationales après avoir suivi durant une année entière avec stage, les cours de troisième cycle de droit Européen à l'IEHEI de Nice.

Il a été chercheur pendant plus d’une décennie à l’Université de NICE et a publié plusieurs articles scientifiques au niveau national et aux journées internationales.
Il était enseignant à l'I.U.T de Nice, de Sophia Antipolis, de Cannes, Professeur à l’Ecole Supérieure de Commerce de NICE, Conseil en gestion au sein de son entreprise individuelle et directeur des deux hôtels sur Nice (3 étoiles).

Monsieur Rachid MABED a un casier judiciaire vierge et de toute sa vie de citoyen, il n’a jamais été condamné.

Le Docteur Rachid MABED est Algérien donc musulman avec tout ce que cela implique lorsque l’on connaît le racisme sur la Côte d’Azur.

Ce racisme, qui est un secret de polichinelle dans ce fief Front National du Sud de la France, a déjà été officiellement dénoncé par le canal de la télévision locale de France 3.

Dés son arrivée en France en 1981, il s''est rapproché spontanément des associations caritatives et il a vite intégré l'amicale des Algériens en Europe et en parallèle Amnesty international.

Le Docteur MABED a été membre de l’Amicale des Algériens en Europe, responsable de la jeunesse et durant ses mandats, il n’a eu de cesse de combattre le racisme.
Il a fait connaître aux autorités civiles et morales de France ainsi qu’aux Ambassades concernées, tous les abus de pouvoirs de la police locale avec, à la clé, un article de presse dans la revue Actualité de l’immigration (Les droits de l’homme et la police niçoise).

Il a été membre actif d’Amnesty International et aussi délégué de son groupe de Nice. Sous le parrainage d’Amnesty International.

Sous l'égide de la section de niçoise d'Amnesty International, M. MABED fut à l’origine des tournois de football caritatifs avec les équipes de jeunes du district de la Cote d’Azur et de la participation active à ces tournois de nos généreux anciens arbitres internationaux de football : Michel KITABDJIAN, Claude COLOMBO et Gilles VESSIERE.
Il a passé des nuits à rédiger des courriers en faveur des prisonniers politiques dans le monde entier tout en se refusant d’aborder les sujets Algériens pour des raisons d’objectivité.

Il a été arbitre officiel du district de la Côte d’Azur pendant 14 ans pour satisfaire sa passion du ballon rond après avoir longtemps pratique le football.

Sa carrière amateur a débutée au RC Kouba (club de la banlieue d'alger) pour s’étendre progressivement au club de l’OMR (Ruisseau)et au club de Football de LARBA en Algérie.

Cette description amène le lecteur à avoir une image proche de l’homme de cœur, toujours prêt à aider son prochain (des dizaines de témoignages de personnalités), à soutenir ses compatriotes et à sacrifier tous ses week-ends pour les nobles valeurs du sport ainsi que celles de la défense des droits de l'homme.

Ce volet de la personnalité n’a jamais été évoqué lors des jugements car la justice avait pour souci de fustiger la personne du Docteur MABED de façon à occulter le vide du dossier pénal.

En dépeignant un homme violent, fourbe, pervers, menteur, malade mental, la question ne se pose plus de savoir est-ce que le Docteur MABED est coupable et s’il existe des éléments dans le dossier pénal, susceptibles de justifier une condamnation.

Pour l’oligarchie locale, le Docteur MABED est l’emmerdeur par excellence au point où l’ancien directeur de la sécurité publique de la police nationale de Nice, aujourd’hui à la retraite anticipée, a dû s’expliquer devant la police des polices.

Ce sinistre personnage, raciste dans l’âme n’a pas omis de mentionner dans le journal local toute sa nostalgie de la colonisation en Kabylie, où il a eu un passage qu’il ne faudrait sûrement pas approfondir.




PERSONNALITÉ DE LA PLAIGNANTE, PROTÉGÉE DE LA POLICE

Madame Hager DRIDI est née le 23 Mars 1962 à Tunis, de nationalité Tunisienne et elle est employée comme femme de chambre dans l'hôtel dont le directeur était Monsieur Rachid MABED.


Elle est divorcée d'un Algérien actuellement décédé dont elle a eu deux enfants.

Elle a eu un garçon et la fille qui a reconnue devant la police, avoir menti en accusant M. MABED de viol. L'affaire ayant été classée sans suite.

Elle est connu des services de la police pour avoir été condamnée pour un trafic de stupéfiants en 1990. Une descende de la brigade des stupéfiants en son domicile a découvert de la drogue et d’une somme importante d’argent qui a été confisquée.
Hager DRIDI a été condamnée dans cette affaire de stupéfiants par le TGI de Nice. Par la suite, elle a reconnu cette condamnation devant l’expert psychologue qui l’a mentionné dans son rapport d’expertise qui est côté dans le dossier criminelle à l’origine de mon incarcération.
De surcroît, M. André RIBES ancien substitut du parquet de Draguignan a reconnu devant les jurés, Madame Maryse CHIAIS (conseil), Maître Isabelle COUTANT (PEYRE) ainsi que des témoins de la cour d’assises d’appel, que Mme Hager DRIDI a bien été condamné pour trafic de stupéfiants mais que sa condamnation ne figure plus sur son casier judiciaire.

Son frère DRIDI Khaled avait été immédiatement incarcéré à la maison d’arrêt de Nice et son concubin M. M’Saddek BELHABIB interpellé dans ce dossier.

Les enfants de Hager DRIDI ont été mis sous la protection AMO, des services sociaux de la mairie de Nice. Cela indique la moralité de cette plaignante qui n’a pas hésité à faire obstruction à la justice avec la connivence manifeste du Président la cour d’assises d’appel de Draguignan.

Nous y reviendrons avec détails ce dernier point ...


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http://www.monstrueuse-injustice.net/

1 commentaire:

Anonyme a dit…

S.V.P Nous sommes des mamans victimes de cette juge pouvez vous nous aidez dans nos recherches
cordialement
madame Martel
eugenemartel@hotmail.fr
tel 0678276773