jeudi 2 juin 2011

UNE INJUSTICE INCROYABLE DANS LA FRANCE DITE DES DROITS DE L'HOMME

Tout d'abord, il faut noter que Rachid MABED a été condamné pour viol sur la personne de Mme Hadjer DRIDI BOUDJEDRA par la cour d'assises d'appel de Draguignan, présidée par M. Dominique Alain BREJOUX.

C'est bien le magistrat avec lequel Rachid MABED était en procédure pénale et qui, de surcroît, a outrageusement violé les lois de la république pour présider, coûte que coûte , ce procès alors qu'il était dans l'obligation d'attendre que la cour de cassation statue sur la demande de suspicion légitime. 

Dans un pays respectueux du droit, le verdict de cette cour d'assises est de facto caduc mais en France, la cour de cassation a validé cette parodie de justice en toute impunité.

Cependant vous allez constater que la plaignante a déposé plusieurs plaintes pour harcèlement sexuel précisant qu'il n'y a pas eu de viol avant d'évoquer ce viol imaginaire 6 mois plus tard et ce, sans que durant cette période, elle n'ait revu Rachid MABED.

Partant du fait que toutes les plaintes ont été classées sans suite par le parquet et qui n'y a eu aucun élément nouveau si ce n'est qu'une nouvelle plainte avec le motif de viol, nous vous laissons juge de la probité de la magistrature française dans cet attentat judiciaire.

PREMIÈRE PLAINTE DÉPOSÉE POUR HARCÈLEMENT SEXUEL ... PAR UNE INDICATRICE DE POLICE.

C'est le début de l'affaire MABED avec le dépôt d'une toute première plainte pour harcèlement sexuel par Mme Hadjer DRIDI BOUDJEDRA.

Cette employée qui avait reçu un avertissement dans l'attente de statuer sur son cas, pour un vol d'une gourmette en Or dans une chambre d'hôtel, s'est immédiatement rendue chez son médecin et s'est déclarée en maladie auprès de la CPAM.

Puis voulant revenir au travail au bout d'un mois, elle a été immédiatement virée de son travail par Rachid MABED dés son arrivée à la réception de l'hôtel et le réceptionniste était présent.

Ayant refusé de partir, Rachid MABED a appelé la police au 17 et cela l'a incité à quitter les lieux.

Comment peut-on concevoir qu'un directeur supposé avoir violé son employée et avec violence (mentionnée sur un certificat médicale falsifié qui est publié ci-dessous) , puisse appeler la police immédiatement après son forfait ?

C'est à ce moment que cette personne a pensé monter une cabale contre son directeur après avoir manipulé sa copine (Tunisienne comme elle) pour ne pas être licencié sans indemnités et justifier par cette plainte d'une procédure au conseil des prud'hommes de Nice.

Nous publions le procès verbal de police relatif à la première plainte qui a été déposée pour harcèlement sexuel au commissariat de police en dat du 16 Décembre 1997.

Il s'agit du procès verbal officiel contenu dans le dossier de l'affaire RACHID MABED et qui est répertorié dans la procédure, en haut à droit, avec la côte D37




















                                           Vous remarquez que la plaignante est bien Madame Hadjer DRIDI BOUJEDRA et que l'objet de la plainte, marqué sur le côté gauche du PV de Police, est bien le Harcèlement sexuel.


Volontairement nous affichons la partie du PV de police où est mentionné, qu'il n'y a ni pénétration ni fellation car elle a toujours refusé (dit-elle).





DEUXIEME PLAINTE POUR HARCÈLEMENT SEXUEL ET TENTATIVE DE VIOL PARLA MÊME INDICATRICE DE POLICE

Ayant constaté que sa plainte pour harcèlement sexuel du 16 décembre 1997 contre RACHID MABED n'a pas aboutie, cette indicatrice de police dépose le 12 janvier 1998, une seconde plainte en prenant le soin d'aggraver le motif à savoir un harcèlement sexuel et tentative de viol.

Rien ne justifie le changement de qualificatif alors que la plaignante n'a plus rencontré RACHID MABED depuis le dépôt de sa première plainte ?

C'est l'analyse méticuleuse de cette plainte, qui va prouver l'innocence évidente de RACHID MABED et qui vient classer cette nouvelle plainte dans le délit de la diffamation.

Ce n'est pas par hasard que la juge a mis son tampon sur la phrase: "J'ai refusé de coucher avec lui "

La juge d'instruction, Christine LORENZINI, a tout manigancé pour que cette phrase disparaisse du dossier mais la vérité fini toujours par triompher et la suite de ce blog nous le confirmera.


Nous décrypterons prochainement les éléments de cette seconde plainte, qui confondent grossièrement, la plaignante dans ses mensonges.

PREMIÈRE PLAINTE DE VIOL DÉPOSÉE PAR L'INDICATRICE DE POLICE.

Nous passons directement à la plainte de viol mais nous publierons Mardi la troisième plainte contradictoire de cette femme de chambre et qui élimine implicitement le viol supposé, en faisant de nouveau état d'un simple harcèlement sexuel.

Encore une preuve qu'il ne s'est jamais rien passé d'anormal dans les hôtels.

Nous vous laissons aujourd'hui déguster les nombreuses accusations contradictoires les unes des autres.

Mardi nous vous démontrerons que sur l'étude de ce simple procès verbal de police, la plaignante aurait dû immédiatement être incarcérée pour mensonges devant une autorité judiciaire.

Vous aurez la démonstration faite qui prouvera l'affabulation totale de cette plaignante particulière.


Avant de lire, rappelez vous que M. MABED n'est pas toujours à l'hôtel car il a un cabinet de conseil avec des employés, il est enseignant à l'Université de Nice et à l'école supérieur de commerce IPAG de Nice avec de étudiants de dernière année.


Par conséquent, ces activités nécessitent des préparations sérieuses et en prenant en compte les multiples partiels à préparer pour le mois de Décembre, vous comprendrez que le temps pour l'hôtel est limité.

Lorsque la plaignante déclare que RACHID MABED dors tous les jours dans une chambre d'hôtel, pour que l'employée le rejoigne tous les matins, alors qu'il a son domicile, ses deux enfants scolarisés et sa propre famille, il faut comprendre que la juge d'instruction relève de la psychiatrie...

N'oubliez pas que dans ce procès verbal, elle déclare que c'est son médecin traitant qui lui a demandé de porter plainte pour viol.

Nous vous avons prouvé que ce médecin a démenti sur le procès verbal de police que nous publions ci-dessous avec le certificat médical falsifié.

Le reste sera décortiqué avec plusieurs preuves de contre-vérités mais il en faut combien a la justice pour prouver une innocence ?




PATIENTEZ CAR LE FILM DE LA MAFIA NICOIS QUI RESSEMBLE A UNE VERSION DE FICTION SICILIENNE, CONTINUE !

PLAINTE DE LA FILLE MINEURE POUR PÉDOPHILIE

Le 03 avril 1997 et sans avoir rencontré de nouveau RACHID MABED depuis le 04 novembre 1997, Mme Hadjer DRIDI BOUDJEDRA accompagne sa fille NORA au commissariat de police pour déposer une PLAINTE de pédophilie évoquant un viol sur mineure de 14 ANS.  Elle sera reconnue 2 mois plus tard mensongère.



Voila la déclaration de la mineure qui reconnaît avoir menti devant un officier de police.

Cependant, RACHID MABED  a été surpris de voir ajouté en son absence sur le PV de police des déclarations que la mineure n'a pas faites à savoir qu'elle voulait venger sa mère. Cela a été ajouté sous la dictée des policiers dont le directeur départemental, M. Pierre PETITJEAN, a promis de faire payer à RACHID MABED, ses activités militantes dévastatrices pour la police nationale.


L'affaire a été classée sans suite par le parquet avec un retard incroyable.

Devant l'officier de police judiciaire qui a enregistré la plainte de viol sur mineure, Mme DRIDI aurait pu évoquer un viol sur elle si cela était véridique.

En lisant le Procès verbal de la brigade des mineures qui est publié ci-dessous, nous remarquons que Mme DRIDI BOUDJDRA, déclare qu'elle n'a pas été victime de viol, qu'elle a toujours refusé mais que implicitement, c'est uniquement pour sa fille qu'elle se bat .

Voila une nouvelle preuve sur la condamnation pour un viol imaginaire !


En tout première constatation, vous lisez que RACHID MABED l'a renvoyée le 05 novembre 1997 de son travail pour un vol de gourmette dans une chambre qu'elle ne dit pas et il a appelé la police.

Comment peut-elle avoir été violée le 04 Décembre 1997  dans son travail ?

Par contre, nous trouvons une preuve de la complicité de Mme Hadjer DRIDI sur la plainte de sa fille
et pour cela elle déclare que RACHID MABED lui aurait dit que sa fille est chaude ce qui viendrait pour appuyer le viol sur mineure.
N'est- ce pas bizarre en apprenant que RACHID MABED a été accusé à tort ?

De ce fait, le parquet a violé la loi car il avait obligation de poursuivre la mineure pour dénonciation calomnieuse de viol et cette audience correctionnelle aurait fait éclater la vérité.
RACHID MABED vient  de voir ses droits de la défense bafoués par Mme Valérie COURTALON PORTE, substitut du procureur, qui lui a ôté un moyen de confondre la mére qui est sans conteste, complice de cette accusation.

Nous allons voir que par la suite le parquet a tout fait pour qu'il n'y ait pas de procès et que le président du tribunal a carrément violé la loi pour étouffer cette affaire.

C'EST UN DÉNI DE JUSTICE MANIFESTE !

C'est tout naturellement que la police a appelé la mère de cette mineure pour l'informer de l'échec de la plainte de sa fille et que par conséquent, il faut qu'elle fasse un nouvel effort en déposant une nouvelle plainte mais pour viol contre M. MABED.

Voilà comment une plainte pour harcèlement sexuel déposée le 16 décembre 1997, est subitement devenue  une tentative de viol avec menace de mort sur plainte déposée le 12 janvier 1998 pour se terminer par une plainte de viol en date du 28 avril 1998.

Lorsque l'on sait que pendant ces dépôts de plaintes, RACHID MABED n'avait plus revu la plaignante depuis le 04 novembre 1997 donc qu'il ne peut pas y avoir d'élément nouveau justifiant ces  changements de délits alors on démontre que la justice marche sur sa tête à Nice.

Moralité, il y a eu la plainte de Hadjer DRIDI pour harcélement sexuel classée sans suite,  sa nouvelle plainte de harcélement sexuel, menace de mort avec tentative de viol encore classée sans suite puis celle de sa fille mineure pour pédophilie reconnue mensongère et on est revient avec une nouvelle plainte de cette qui change de délit en évoquant un viol qui satisfait la mafia judiciaire.

A QUAND LA PLAINTE DE LA GRAND MÈRE ?

Mme Hadjer DRIDI s'est donc déplacée avec une collègue Tunisienne qui ne travaille pas avec elle mais qu'elle connaît.

Pour avoir jeter de la javel sur une moquette de l'étage de l'hôtel, cette tunisienne venait d'être licenciée de la boite de conseil appartenant à RACHID MABED et qui intervenait en sous traitance au seins des deux hôtels.

Elles ont déposé la même plainte pour le même délit supposé toutes deux classées sans suite après enquête par le parquet.

RACHID MABED n'était pas présent au commissariat pour justifier d'une quelconque pression sur Mme Hadjer DRIDI et que cette personne s'est déplacée volontairement pour rencontrer un officier de police judiciaire.

Lorsque l'on a peur de son directeur, on ne va pas au commissariat dans le but de le faire comparaître devant un tribunal et faire en sorte qu'il quitte son poste.

Elle était libre de ses mouvements et de ses propos donc si elle avait été violée, Rien ne peut justifier qu'elle ne le déclare pas.

De plus pourquoi donne-t-elle des détails sur le fait qu'il n'y a eu ni pénétration ni fellation. Elle a précisé d'elle même qu'il n'y a jamais eu de viol.
La peur était surtout du côté de la pression que la police lui faisait en sa qualité de délinquante et condamnée pour trafic de stupéfiants.
Au moment du dépôt de cette plainte, elle était assurée que sa démarche était suffisante pour discréditer son directeur d'hôtel et comme cela lui a été dicté, elle augmentera progressivement dans la gravité de ses accusations.

CONFIRMATION DE SA PLAINTE POUR HARCÈLEMENT SEXUEL DEVANT QUATRE AUTRES AUTORITÉS DIFFÉRENTES

Nous allons voir que cette accusation de harcèlement va être réitérée  par la plaignante à 5 dates différentes séparées de plusieurs semaines, devant cinq autorités qui n'ont aucun lien entre eux dont une confirmation de nouveau devant un officier de la police criminelle.
Donc lorsque Mme Hadjer DRIDI va évoqué pour la première fois un viol, cela ne pouvait être qu'un mensonge qui aurait dû l'envoyer avec sa fille impliquée, directement en prison.
Non seulement il était impossible à la justice de considérer une nouvelle accusation de viol mais en le faisant elle se discrédite ouvertement et elle démontre qu'elle est au centre d'une cabale.

Ce complot est évident sachant que le harcèlement sexuel avait a été classé sans suite pour manque de preuve et que la nouvelle accusation de viol ne pouvait être retenue sans aucun élément nouveau et juste, sur simple déclaration.

La plainte de viol pouvait être orientée vers tout individu puisqu'il s'agit d'une simple déclaration qui, de surcroît, est contradictoire avec plusieurs des propres déclarations de la plaignante.

Nous allons démontrer que l'accusation de harcèlement qui était irrecevable, a été réitérée avec sérénité et donc ne pouvait jamais aboutir devant une cour d'assises.

En définitive et en imaginant que la première plainte pour harcèlement sexuel n'ait jamais existée,

Comment comprendre que Mme Valérie COURTALON PORTE, ait pu jeter en prison RACHID MABED sur la base de simples déclarations qui sont appuyées d'aucune preuve mais qui contient des contradictions, un mensonge sur le présumé viol, dénoncé par un médecin traitant et un certificat médical clairement falsifié ?


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