jeudi 17 mai 2018

RESPONSABILITE DES MAGISTRATS


"Il faut s'isoler de la foule pour penser et s'y confondre pour agir"

LAMARTINE



JUSTICE



     Lorsque la justice est malmenée en France, ce sont tous les principes de base de notre système républicain qui sont remis en cause et le monde politique qui est montré du doigt.



     Le parallèle  avec le système accusatoire des U.S. A, donne une liberté d'action complète de la magistrature américaine dans le cadre de leur fonction.



     Durant l'été 1998, les débats télévisés autour sur la culpabilité du président CLINTON, ont démontré la totale liberté d'action dont a pu jouir le procureur indépendant KENNETH STAR.



     Cette indépendance est surtout due aux conditions de désignation des juges qui sont élus par le peuple, ce qui fait la fierté de la nation américaine  qui bénéficie d'un système mettant sur le même pied d'égalité tous les justiciables.



     Cependant, l'existence de grandes lacunes de type idéologiques à l'origine de dysfonctionnement, peut trouver son mobil dans un simple règlement de compte extrajudiciaire.



     L'affaire CLINTON est révélatrice du fait que l'idéologie du procureur ainsi que ses affinités religieuses chrétiennes voire aussi ses accointances politiques avec le parti républicain, a joué un rôle prépondérant.



     En définitive, l'indépendance acquise par les magistrats dans le cadre de leur fonction, ne signifie pas qu'elle sera implicitement favorable aux respects des droits des justiciables dans le cadre de l'exécution de cette fonction.



     Par conséquent, l'action publique peut, dans certains cas, devenir une arme de règlement de compte résultante d'une conspiration  qui trouva sa raison en dehors de l'enceinte de la justice.



     Cela illustre le fait que quel que soit le système judiciaire, l'infaillibilité n'existe pas mais que la fiabilité du système se mesure à la hauteur des moyens de contrôle susceptibles de veiller au bon fonctionnement de l'appareil judiciaire.



     La France est régulièrement confrontée à de telles situations délétères mais l'hypocrisie du système tend à automatiquement occulter les dérives constatées que supportent les justiciables.



     Sous couvert de préserver l'image du pays des droits de l'homme, le système judiciaire français est, de facto, protégé par tous les gouvernements quelle que soit leur couleur politique.



     Même en cas de faute professionnelle grave, les magistrats ne doivent pas être jetés à la vindicte populaire et toute poursuite justifiée se trouve être inhibée par l'accord obligatoire du garde des sceaux qui s'avère impossible.



     Le Conseil Supérieur de la magistrature ne peut pas engager une poursuite à l'encontre d'un juge sans l'autorisation expresse du Président de la république ou du garde des sceaux.



     Les juges bénéficient d'une protection infaillible à travers un appareil corporatiste qui lui-même est verrouillé par une décision politique inaccessible, préalable à toute poursuite à leurs encontre.



     De surcroît, lorsque cet obstacle est dépassé, il subsiste que, ce sont les paires, qui sont amenés à juger leur collègue magistrat avec une clémence incroyable.



     Le cas du juge VOIRIN confondu de corruption, est significatif de cet esprit corporatiste puisqu'il a fini par bénéficier d'une retraite de magistrat alors qu'il représente la honte du système judiciaire.



     Le cas du Juge Jean Paul RENARD est aussi stupéfiant qu'incroyable. Assurant la fonction de Doyen des juges d'instruction à Nice, ce dernier s'est permis de violer les lois de la république en ayant eu accès, illicitement, au fichier informatique et liberté de plusieurs personnes.



     Plusieurs dossiers pris en charge par ce magistrat nous ont interpellés et comme par pur hasard, les procédures qui ont défrayé la chronique ont été instruites par ce magistrat.



     L'affaire de la jeune héritière du palais de la méditerranée, Agnès LEROUX, conjugués à plusieurs dossiers classés sans suite dont celui  du député Pierre MERLI, ne sont que le côté caché de l'Iceberg.



     Non seulement M. RENARD a trouvé le soutien du président de la 16ème chambre de l'instruction de la Cour d'Appel d'Aix en Provence mais il est resté en fonction avec une mutation proche de sa propriété, une grande villa avec piscine.



     Lorsque l'on constate que pour moins que cela, ce magistrat n'a pas hésité à mettre en détention des jeunes qui ont commis des délits moindres, il y a de quoi s'interroger sur cette justice à deux vitesses.



     En définitive, actuellement, il est quasiment impossible de poursuivre un magistrat qui se serait rendu coupable d'un délit pénal dans le cadre de sa fonction.



     Cela place le corps de la magistrature au-delà des lois de la république surtout lorsque l'on constate que les politiques, les médecins, les avocats, les enseignants et tous les autres corps de métiers,

    

RESPONSABILITE DES MAGISTRATS



     Le débat sur la responsabilité des magistrats ne doit pas tourner à la dérision ou faire l'objet d'une tergiversation tendant à vouloir travestir un problème sérieux de société en une volonté grotesque d'affaiblir nos juges.



     Il consiste essentiellement à éviter que dans notre système judiciaire, il puisse y avoir des abus volontaires tendant à porter atteinte au respect du droit des justiciables.



     Banaliser le débat sur la responsabilité des magistrats en attribuant tout dysfonctionnement du service public en une charge excessive de travail, relève d'une aberration.



     Rien ne peut justifier qu'un innocent puisse être atteint dans sa dignité ou son honneur par une détention arbitraire ne serait-ce un laps de temps.

    

     Un juge qui bénéficie d'une latitude excessive mette en détention un citoyen de façon inappropriée sous couvert d'une conviction personnelle, ne peut le disculper d'un manquement réel à ses obligations d'impartialité.



     La présomption d'innocence lorsqu'elle est bafouée ne doit pas absoudre la responsabilité du magistrat sous couvert de l'excuse de sa bonne foi.



     La constatation de l'erreur judiciaire découlant d'un manque évident de discernement dans l'instruction d'un dossier pénal ne doit en aucun cas inhiber la responsabilité dans la fonction sous prétexte du risque de la stérilisation de l'action judiciaire. Ces propos tenus médiatiquement par un juge issu du pôle financier demeurent incohérents.



     La fiabilité du système judiciaire ne doit pas laisser place à aucun laxisme sur la rigueur du contrôle de son fonctionnement. Pour assoire sa crédibilité il ne faut pas tolérer la moindre défaillance lorsque l'atteinte au droit du justiciable est constatée.



     Pourquoi la responsabilité du citoyen se doit d'être irréprochable faute de se voir ester en justice pour répondre de ses actes alors que dans le même cas de figure, le magistrat ne cesse de bénéficier d'une irresponsabilité pénale ?



     Le Conseil supérieur de la magistrature est la plus injuste des créations vis à vis du peuple français car il est un bouclier efficace de protection des délits pénaux commis par nos juges.



     C'est de façon impuissante que nous constations que les avocats, les médecins, les enseignants et tous les autres corps de métier, ne bénéficient pas de ce type de système de soutien judiciaire.



     La déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen ne prévoit pas une telle exception judiciaire. Bien au contraire, elle stipule que les hommes naissent libre et égaux en droit.



     La détention reconnue abusive d'une personne doit immédiatement donner lieu à une sanction à la hauteur des conséquences dramatiques qu'aurait engendrée cette décision inique.



     Le juge doit être contraint à se voir imposer le principe inscrit dans le code pénal et qui mentionne: "Mieux vaut cent coupables en liberté qu'un seul innocent en détention".



     Il est urgent que cette référence judiciaire cesse de faire l'objet d'un refrain stérile dans les salles d'audiences des tribunaux français. Elle doit devenir une règle de base irréversible que les magistrats doivent appliquer avec assiduité.



     La responsabilité du juge qui fait état de la sincérité sur l'intime conviction sans établir de contrôle sur son manque  impartialité à avoir appliqué scrupuleuse les lois du législateur ou à considérer les jurisprudences, est actuellement le réel problème.



     La dignité humaine et les règles éthiques, sont reléguées au second plan en matière de justice ou excellent malheureusement l'influence des réseaux occultes...



LE CORPS DES MAGISTRATS

     En comparaison avec nos chercheurs et l'ensemble des autres corps de métiers, les qualités intellectuelles requises  pour le recrutement de nos magistrats, ne sont pas meilleurs.



     Pourtant, le statut dont ils bénéficient relève d'une exception inadmissible au regard de l'égalité du peuple prônée par la déclaration universelle des droits de l'homme dont s'est inspiré la République.

     

     L'impunité du corps de la magistrature qui nous est imposée nous laisse croire que les magistrats sont recrutés sur la base d'une analyse génétique de probité professionnelle et d'éthique morale.



     Certes, nos juges prêtent un serment et sont astreints à un devoir de respect de la déontologie mais dans certain cas il y a loin de la coupe aux lèvres.



     Le principe élémentaire du droit est de faire en sorte que le juge puisse prendre la décision de s'abstenir lorsque le doute subsiste plutôt que de porter atteinte au droit du justiciable.



     Ainsi, la collégialité dans la décision de mise en détention récemment décidée par la loi  du 15 juin 2000, si elle est une avancée dans l'esprit du législateur n'a pas amélioré d'un pouce la situation des justiciables.

    

     Le Juge des libertés et de la détention, est dépendant de la même hiérarchie, travaille au sein du même Tribunal et ne peut pas désavouer son collègue sans heurter sa sensibilité;



     De surcroît, la fonction du juge des libertés est, aussi, occupé par des juges d'instruction selon un roulement qui peut générer un système de désaveu réciproque entre magistrats.



     Plus exactement, le Juge des libertés et de la détention, amené à rendre une décision de remise en liberté d'un mis en examen contre la décision du juge d'instruction, risque de se voir automatiquement désavoué à tort ultérieurement par son collègue qui avait été désavoué.



     Tant que la fonction de juge des libertés ne devient pas une fonction à part entière exclusive de toute autre fonction au sein du même tribunal y compris après le mandat qui serait inscrit dans la durée, alors ce système restera inopérant. 



     Les mouvements alternatifs des magistrats dans l'exercice de leur fonction au sein du parquet puis au sein du siège, consolide ce corps en un bloc unique qui générée un esprit corporatiste inéluctable.



     Le Conseil Supérieur de la Magistrature a énoncé en 1994 le principe selon lequel: "Les magistrats doivent présenter en leur personne même les qualités de rigueur, d'intégrité et de loyauté qui seules, traduisent le sens de leur responsabilité et de la conscience de leur devoir qui les rendent dignes d'exercer leur mission et légitimement leur action".



     Il y a pourtant des anomalies à bannir pour la justice telles que: Menacer un avocat de la défense parce qu'il s'oppose à une décision du juge d'instruction, violer les lois de la république pour rattraper une bavure, refuser une demande d'actes de procédure alors qu'elle constitue une preuve de vérité pour le mis en examen, tolérer que des articles de presse viennent s'immiscer dans une instruction sans intervention de la justice, fermer l'œil sur la publication d'une photographie d'identité transmise à la presse par les enquêteurs de police en violation du secret professionnel, …

     L'honneur de la magistrature ne sortira que renforcée par un contrôle rigoureux sur la régularité de leur travail, la vérification de leur mobilité professionnelle qui évitera tout manque d'objectivité de leur décision et surtout le maximum de sévérité dans la sanction lorsque cette dernière est justifiée.

   De nombreux cas peuvent être cités sur le cas de magistrats confondus dans une dérive judiciaire volontaire et qui s'en sortent sans la moindre sanction disciplinaire. Cette situation inadmissible n'a pu prospérer que par la puissance du soutien corporatif qui veut que les magistrats se soutiennent dans un système de protection mutuelle réciproque.






mardi 24 janvier 2012

LORSQUE LA JUSTICE SERT AUX MAFIEUX POUR REGLER UN COMPTE PERSONNEL

VOUS POUVEZ LIRE LE CONTENU DU NOUVEAU SITE

Il est créé, à l'initiative des amis de Rachid MABED.

Vous verrez implicitement, comment des voyous habillés en tenue de notables, ont comploté en bande organisée, pour violer outrageusement les lois de la république.

Vous comprendrez comment ces voyous de la république ont volontairement commis une forfaiture judiciaire en actant de réels "déni de justice" dans le but de fabriquer un coupable pour régler un compte extra-judiciaire.

J'ose espérer que ces autorités délinquantes organisées en corporation de plus d'une dizaine de comparses et qui s'octroient une auto-immunité judiciaire , seraient condamnées pour avoir rendu volontairement, un énorme dysfonctionnement au nom du peuple français.

POUR LIRE, CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT

http://www.monstrueuse-injustice.net/

MONSTRUEUSE INJUSTICE
Il est de notoriété publique que les policiers français fassent en sorte d'infiltrer directement ou indirectement, les groupes de mafieux dans le but de démanteler des réseaux criminels.

Cela ne peut pas choquer le commun des mortels car l'action se fait dans l'intérêt de l'ordre public mais surtout dans le respect des lois de la République.

Cependant, lorsque la mafia infiltre la justice et qu'elle prend les commandes d'une instruction dans le but de régler un compte extra-judiciaire alors nous réalisons que nous sommes dans la dictature judiciaire la plus tordue au monde.

Même en Italie, nous n'avons pas eu connaissance d'un cas où la mafia sicilienne ait pu faire aboutir une affaire pénale à son profit, sans faille et avec la bénédiction des plus hautes autorités judiciaires.

C'est le doyen des juges d'instruction niçois qui fut cité dans une affaire de pédophilie et qui par la suite, a été radié de la magistrature pour sa proximité avec la mafia italienne, qui a donné ordre pour que soit maintenu en prison, un innocent qui gênait les agressions xénophobes d'une bande de voyous, habillée en costume de notable.

L'affaire RACHID MABED qui est détaillée dans ce blog, va forcément en choquer plus d'un mais elle va porter un coup terrible sur le fonctionnement inquiétant de l'institution judiciaire, le contrôle soit disant infaillible de la cour de cassation, la probité des magistrats, le respect des droits du justiciable et la transparence de la justice française.

Comble de l'ironie, l'actualité de Dominique STRAUSS-KAHN vient confirmer que la justice française n'est qu'un déchet bon à jeter dans les poubelles du système accusatoire, combien éminent, des états Unis d'Amérique.

En effet, il apparait que l'affaire DSK n'est qu'un remake de l'affaire Rachid MABED où nous trouvons les mêmes ingrédients à savoir une femme de chambre pauvre, émigrée, seule avec 2 enfants mineurs à charges, musulmane, menteuse invétérée devant l'autorité judiciaire justice et impliquée dans un trafic de stupéfiants en France.

la différence entre les 2 affaires est que pour le dossier Rachid MABED, il n'y a pas eu de preuve ADN, pas de témoignage direct mais la plaignante a non seulement officiellement été condamnée par le tribunal correctionnel de Nice pour trafic de stupéfiants mais elle a produit un faux en écriture pour justifier d'un viol fictif à savoir un certificat médical que son médecin traitant supposé l'avoir délivré, reconnait comme étant un faux.

Là ou on reproche une lenteur de la justice américaine a reconnaître l'innocence de DSK, la France a séquestré Rachid MABED puis l'a condamné sans gêne par des magistrats qui étaient certains de son innocence et avec l'aval des plus hautes autorités judiciaires dont la complicité directe et honteuse, de Mme Elisabeth GUIGOU qui se présente comme démocrate républicaine.
INTRODUCTION
Innocent, un militant actif pour la défense des droits de l’homme qui a dénoncé de nombreuses exactions policières, a été jeté en prison pour un crime fictif suite à une combine police-justice.

Cette manipulation a débuté dans l'illégalité totale par une instruction octroyée à un magistrat conjointe d'un commandant de la police nationale, sous les ordres directs de son Directeur départemental qui a officiellement déposé devant le parquet de Nice, une plainte pénale à l'encontre de Rachid MABED et la cour de cassation a validé cette irrégularité.
Ci-joint la plainte du plus grand patron de la police contre RACHID MABED qui, avant son incarcération, avait transmis au cabinet du Ministre de l'intérieur, vingt sept cas d'agressions policiers sur des Algériens, puis après son incarcération une lettre qui lui rappelle son islamophobie invétérée et qui est publiée ci-dessous.

En premier ressort, M. MABED avait déposé une plainte hiérarchique à l'encontre de M. Pierre PETITJEAN, ancien Directeur Département de la Sécurité Publique des Alpes Maritimes et le Ministre de l'intérieur a déclenché une enquête des services qui a donné lieu à un procès verbal établi par la police des polices.

Voilà comment une instruction inique, orientée uniquement à charge, initiée puis gérée à distance par les services de la police nationale comme au temps du régime de Vichy, a abouti à une parodie de justice qui s'est soldée par une comparution rocambolesque devant une cour d'assises.

C'est avec de multiples violations de la loi et les droits de la défense bafoués, que M. MABED a été condamné par des magistrats dont le coup de grasse a été porté par un bourreau insolent, qui est connu pour ses idées Front National.

Bien que ce Président de la cour d’Assises d'appel qui avait le devoir d'impartialité, ait insulté M. MABED en pleine audience avec mention de cet acte dans la procédure, la cour de cassation n'a pas cassé le jugement.

Le pire est que ce président de la cour d'assises d'appel, a été juge et parti dans la procédure dans la mesure où il était en procès avec M. MABED suite à une plainte pénale déposée contre lui avant l’audience ce qui a donné lieu à un procès en chambre correctionnelle après l’audience.

Nous réserverons un chapitre sur ce magistrat qui a supervisé le dossier RACHID MABED avec la publication des pièces justificatives tant sur ses abus de pouvoir manifestes en sa qualité de président de la cour d'assises d'appel de Draguignan, que sur son procès devant les chambres correctionnelles en sa qualité de prévenu.

Comment peut-on crédibiliser la condamnation rendue par une cours d'assises constituée de personnes manipulables, sans aucune expérience, parfois jeunes ou sans instruction, impressionnés par de rusés magistrats expérimentés qui peuvent les travailler au corps en partageant avec eux, les pauses avec boissons et petits fours durant plusieurs jours ?

Qui peut dénoncer un président de Cour d'assises qui aurait traité de criminel l'accusé dans le secret des délibérations, qui aurait forcé des jurés à suivre son indication ou qui aurait refait le vote jusqu'à ce qu'il obtienne la condamnation voulue ?

Dans ces conditions que la loi impose, nous constatons qu'être un proche d'un président de cours d'assises, c'est être certain de bénéficier d'un acquittement et cela nous laisse perplexe sur l'absence de contrôle qui peut laisser la porte ouverte à une éventuelle corruption dans la magistrature d'assises.

En effet, après la condamnation abusive et illicite, en cour d'assises, le président de cette cour d'assises a été cité devant le tribunal correctionnel pour insultes, menaces et propos racistes mais le corporatisme des magistrats l'a protégé d'une façon scandaleuse au point d'empêcher M. MABED d'assister au procès qu'il a initié pour la vérité.

La presse locale a annoncé que cette procédure fut une première judiciaire en France sachant que jamais un président de cour d'assises n'a été cité pour son comportement illicite en cours d'audience.

Même dans les républiques bananières, une telle magouille judiciaire pour protéger un violeur des lois républicaines dans l'exercice de sa fonction, ne peut être réalisable, ouvertement et sans gêne.

Dans une autre affaire et comme l'a si bien déclaré devant un tribunal correctionnel l'avocat Parisien Alex URSULET (qui a eu un différent grave avec ce même président de cour d'assises), même a Santiago du Chili durant la période de dictature du général Pinochet, cela n'a pas été vu.

A l’origine, le vrai crime du Docteur Rachid MABED est d’avoir dénoncé 27 bavures policières dont un assassinat par arme à feu tire sur la nuque d'un sans papier Algérien dans le centre de rétention de Nice, une affaire de pédophilie dans laquelle était cité par le père de l'enfant, le doyen des juges d'instruction qui avait la charge du dossier pénal (qui a été radié de la magistrature depuis) et un grave raté de la DST.
Quelques semaines avant cette affaire montée de toutes pièces, le directeur de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, M. Xavier De FURST a menacé de représailles M. MABED qui l'a cité en cours d'assises mais ce dernier n'a pas eu le courage de venir à la confrontation.

De la menace à l'acte, la cour administrative d'appel de Marseille a été amenée à annuler un abus de pouvoir de ce directeur de cabinet qui a hospitalisé d'office et sans expertise, M. MABED et ce, avec la complicité de son épouse qui était directrice des affaires sanitaires à la préfecture de Nice.

Les hiérarques membres d'une fraternelle dénoncée par la presse locale lors de l'arrivée du procureur Eric de Montgolfier, pensaient jeter facilement en hôpital psychiatrique M. MABED pour s'en débarrasser et continuer sa politique d'exactions vis à vis des Arabes sur la côte d'Azur.

Ce fut une pratique mafieuse niçoise avec la collaboration active de la police qui reçoit des ordres d'une préfecture qui, au moment de l'affaire, a été désignée par France 3 comme étant la préfecture la plus raciste de France.

Comme de vrais démocrates, ce couple De FURST, nous a enseigné l'abus de pouvoir avant de lâcher la police aux trousses de M. MABED comme au temps des rafles de la GUESTAPO.
La chasse aux sorcières a débuté au TGI de Nice où une reprise de justice condamnée pour trafic de stupéfiants a servi d'alibi pour éliminer un homme au casier judiciaire vierge mais qui avait déstabilisé le système xénophobe de la nomenklatura niçoise.

Fort de son impunité et probablement de la puissance de ses réseaux occultes, ce directeur de Cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, a été promu Préfet en Outre-Mer ou la population a demandé par la suite son départ...

Voilà dans quel contexte, Monsieur Rachid MABED va être menacé directement sur son portable par des autorités importantes du département de Nice.

En premier, c'est le patron de la DST locale qui a contacté M. Rachid MABED pour lui indiquer son mécontentement suite à son action efficace pour obtenir la libération de M. Miloud BENCHIHA qui avait été incarcéré pour une supposée affaire de terrorisme.

Dans la conversation qui n'aurait jamais dû avoir lieu, la menace de ce chef de la sécurité, a été claire et précise.

Puis, ce fut au tour du Directeur Départemental de la sécurité publique de Nice, M. Pierre PETITJEAN, qui devant témoin et avec un sourire ironique a déclaré à M. MABED que lui aussi aime les femmes alors qu'aucune accusation n'avait encore eu lieu.

De cette accusation ironique prémonitoire, ce Directeur de la police est vite passé à l'acte par des exactions sous forme d'abus de pouvoir incroyable au point où M. MABED va vivre différentes injustices inqualifiables dignes d'un roman de fiction.

La galère pour M Rachid MABED va commencer avec une violence terrible qui démontre que ces mafieux avec des costumes de notables qui ont pignon sur Rue, ne plaisantent pas puisqu'ils ont carte blanche au point de faire jouer la puissance de leurs relations avec la mafia locale.

En Janvier 1998, M. MABED reçoit dans son bureau un nouveau chef d'une entreprise qu'il faisait travailler pour différents travaux de maçonnerie pour des clients de son cabinet de gestion et qui était intervenue au sein de l'hôtel dont il était le directeur.

Quelle fut sa surprise lorsque cet homme tira de sa poche une grosse enveloppe pleine de billets de banque en lui déclarant que cet argent est une commission pour les travaux effectués à l'hôtel.

Immédiatement M.MABED s'est fâché, lui a demandé de reprendre cette enveloppe tout en lui expliquant que s'il voulait lui faire un geste commercial, il pouvait le faire gracieusement par de menus travaux au sein des hôtels.

Plus tard, cet individu a été identifié comme étant un policier qui a infiltré l'entreprise pour pouvoir discréditer définitivement M. Rachid MABED.

La première tentative de déstabilisation mafieuse ayant échouée, les notables sous l'apparence de respectables démocrates, vont utiliser l'internement psychiatrique pour solutionner ce qui constitue pour la pérennité de leurs exactions xénophobes, un vrai problème.

Le 23 Février 1998, alors que M. MABED s'est calmement rendu au commissariat de police pour dénoncer des détournements de fonds au sein des hôtels dont il avait la responsabilité, la police l'a interné avec une facilité impressionnante et sans aucun respect des règles de droit.

Cette séquestration mafieuse prévue pour durer des mois n'a duré que 11 jours grâce à l'intervention énergique d'un conseil qui a déclenché une expertise effectuée par un psychiatre probe, ce qui de facto, a forcé la mafia locale a trouver un autre moyen de répression.

Cette séquestration sera détaillée et montrera que les mamelles françaises de liberté, égalité fraternité, ont atterri dans un espace particulier de la république, règne des privilèges, des passe-droits, de l'opacité, du favoritisme et de l'injustice.

Face à ce nouvel échec, le feu vert a été donné pour la solution finale non pas celle de l'utilisation de la chambre à gaz "antisémite" mais celle de l'exécution Islamophobe d'un innocent qui est perçu comme étant le petit caillou introduit dans la chaussure de ces mafieux niçois.

Le 14 Mars 1998, un homme armé d'un 357 magnum (arme du milieu niçois), a tenté d'assassiner M. MABED dont le parcours honorable ne justifie pas qu'il vive une pareille situation mais la mort n'a pas voulu de lui.

Nous verrons dans ce qui suit, que le blocage de la police pour que cet homme ne soit pas retrouvé, prouvent inéluctablement que cet individu est protégé par le patron de la police.

Il apparaît que plus les autorités locales notent que leurs actions mafieuses n'ont pas abouties et plus ils s'acharnent dans leur projet d'éliminer du microcosme locale, M. MABED.

La haine à l'égard de ce militant déstabilisant l'ordre établi, étant tellement tenace que ces notables qui se voient protégés par une impunité arrivent à oublier le principe fondateur de la démocratique française à savoir le strict respect des lois de la république.

Il a été décidé de sortir la grosse artillerie qui a sûrement déjà été utilisée à l'encontre de pauvres innocents inconnus et qui consiste à intégrer dans cette conspiration antirépublicaine, la justice.

M. Rachid MABED est désigné comme pédophile puisqu'il a été accusé de viol sur une petite fille de 14 ans mais cette accusation est tombée à l'eau lors de la garde à vue du fait de son emploi du temps chargé qui a confondu la petite menteuse dans ses accusations fallacieuses.

Comme cela a pris de court les conspirateurs alors le lendemain de cette garde à vue, au lieu de libérer M. MABED, ce dernier a été accusé de viol sur la mère de la menteuse, femme de chambre dans un hôtel dont il était le directeur.

Cette employée avait été virée après que M. MABED ait appelé la police nationale car elle avait volé une gourmette en or dans une chambre de l'hôtel.

Nous verrons dans ce qui suit, que lorsque M. MABED l'avait virée de son travail 6 mois plus tôt, cette femme de ménage Tunisienne avait déposé une plainte pour harcèlement sexuel en précisant qu'il n'y a jamais eu de viol, (le PV de police est publié ci-dessous).

De surcroît, M. MABED avait donné ses explications sur ce harcèlement imaginaire, à un officier de la police judiciaire qui a vérifié que la police nationale a été appelée pour faire partir cette femme de chambre et le parquet de Nice à classé sans suite cette plainte, évoquant une déclaration non fondée.

Comment expliquer que 6 mois plus tard, le même parquet a déclaré recevable cette plainte de viol basée sur une simple déclaration de cette femme dont la plainte de pédophilie de sa fille à charge venait juste de tomber à l'eau alors qu'il n'y a eu aucun élément nouveau et que M. MABED n'a plus rencontrée cette employée depuis sa précédente plainte jugée abusive ?

Aujourd'hui, Quel magistrat de la république française, peut nous expliquer, comment est-il possible de classer sans suite une plainte de harcèlement sexuel pour manque de preuve et de poursuivre 6 mois plus tard la même personne sans élément nouveau mais uniquement sur la base du même dossier avec la particularité que la plaignante a aggravé le motif de sa plainte ?

Le substitut du procureur, Mme Valérie COURTALON née PORTE à l'origine de cet énigme, endossera pour toujours la responsabilité d'avoir abusé de son pouvoir pour incarcérer un innocent, détruire une famille et confisqué l'avenir de deux enfants dont le plus doué est devenu délinquant à cause de cette séquestration habillée par une procédure légale.

Voilà comment, un père de famille irréprochable, travailleur et engagé pour la défense des droits de l'homme, est subitement devenu un criminel qui aurait développé avec un retard considérable, des instincts pervers de violeur à l'âge de 45 ans.

Le problème est que cette plaignante ne sait pas quel jour exactement elle a été violée. Dans un premier temps, elle a évoqué le 04 décembre 1997 puis le cabinet d'instruction ayant constaté que l'emploi du temps de RACHID MABED contredisait cette date alors elle a rectifié au 05 décembre 1997 en variant dans l'heure exacte.

Le comble est que le président a empêché RACHID MABED de la confondre dans ses mensonges en coupant court à la confrontation en cours d'assises alors que nous avons la preuve concrète suite à des déclarations de la plaignante qui sont mentionnées sur plusieurs documents officiels que son directeur l'a viré le 05 novembre 1997 et qu'il ne l'a plus revu depuis cette date.

De plus, à cette date du 05 novembre 1997, il a fallu appeler la police pour que Mme Hadjer DRIDI quitte l'hôtel ce qui donne une indication explicite sur la conscience tranquille de RACHID MABED.

Cependant la plaignante déclare être à son poste de travail le 5 décembre 1997, jour de présumé viol, alors qu'elle avait été virée devant témoin le 04 novembre 1997 et que ce jour là, elle ne pouvait pas administrativement travailler du fait qu'elle était recensé sur le registre de la CPAM qui lui versait une allocation maladie.


Trouvez l'erreur ?
Cette femme de chambre déclare avoir été violée dans un hôtel alors qu'il est reconnu que ce dernier était fermé pour travaux, qu'il n'y avait aucun témoin direct, aucune trace ADN ni sur ses vêtements ni sur elle, pas de griffure sur le corps alors qu'elle parle de violence, qu'elle a présenté un certificat reconnu officiellement comme falsifié (publié ci-dessous) et que sa plainte intervient 6 mois plus tard.

Allez expliquer cela aux magistrats qui ont eu la charge du dossier MABED !

Il s'agit d'un film mafieux de fiction à la sauce sicilienne, que la magistrature a activé en toute impunité au TGI de Nice, qui jette le discrédit sur toute la corporation et surtout sur une cours de cassation qui est désignée comme étant la cour suprême de l'état de droit français.
C'EST LE DÉNI DE JUSTICE PAR EXCELLENCE !

Dans les semaines qui ont suivies la tentative d'assassinat, M. MABED va être incarcéré sans aucune preuve, sans élément matériel, sans test ADN qui lui a été refusé, avec des déclarations contradictoires à plus d'un titre et malgré des preuves irréfutables de son innocence inscrites sur documents officiels mais volontairement masquées par les instances de la justice.

Pour parfaire le complot, la police a jeté M. MABED en pâture sur la place publique par la publication de sa photo dès sa garde à vue sur le journal Nice Matin qui l'a présenté comme un pervers sexuel alors que son casier judiciaire était vierge.

Sa condamnation sur la place publique s'est faite avec la participation active du juge Christine LORENZINI ou sinon, avec son indulgence car l'impartialité de ce juge a été jeté dans la poubelle de son cabinet d'instruction sachant qu'aucune poursuite n'a été diligentée pour sanctionner ce délit ou pour poursuivre ceux qui ont violé le secret de l'instruction.

M. MABED a fait condamner le journal Nice Matin pour violation de la vie privée mais les 2 officiers de police ou la juge qui auraient violé le secret de l'instruction en déballant sur la place public des contre-vérités, ont bénéficié d'une complète impunité.

Nous sommes tous indignés par l'image scandaleuse de Dominique STRAUSS KAHN aux États Unis alors que cette pratique de violation des droits et de la mise en détention immédiate sans preuve pour un cadre supérieur au casier judiciaire vierge, est régulièrement appliquée en France dans un système d'accusation à l'américaine.

C'est ce système accusatoire qui était appliqué aux Arabes et aux musulmans en général sur la Côte d'Azur, contrairement au système français qui était appliqué avec précaution uniquement aux stars, aux notables, aux riches et à tous ceux qui font partie d'un réseau d'influence.

Par exemple, l'accusation de viol à l"encontre de Johnny Halliday comportait au départ des nombreux documents qui pouvaient fortement présumer de sa culpabilité et des témoignages directs qui confirmaient le crime.

Johnny n'a pas passé une nuit en garde à vue ni même en prison et cela est bien, car plus tard les témoins ont retrouvé une meilleure mémoire pour le disculper.

Contrairement à cette décision émanant du même tribunal, M. Rachid MABED a passé 2 nuits en garde à vue sur simples déclarations faites par une même famille manipulée, dont l'une de ces accusations est reconnue mensongère sur le champ, et il a été immédiatement incarcéré sans aucune preuve.

C'est avec une facilité déconcertante que les magistrats justifiaient à Nice, de la mise en détention automatique de cette catégorie d'accusés à savoir qu'ils évoquaient automatiquement, un risque aléatoire de trouble à l'ordre public ou le risque imaginaire de pression sur la victime et ce, sans se soucier du casier vierge de ces sous êtres humains coupables de ne pas rentrer dans la bonne case.

Nous passons outre, la présomption d'innocence bafouée dont se targuent de respecter les magistrats et l'ignorance du choc psychologique de l'incarcération d'un proche sur sa famille et ses enfants que l'on considèrent sans humanité.

A la suite de cette incarcération immédiate qu'aucun magistrat ne peut justifier même avec effet rétroactif, M. MABED n'a plus revu ses 2 enfants depuis 1998 alors qu'ils sont majeurs aujourd'hui.

La plaignante avait déjà été condamnée pour trafic de stupéfiants et renvoyée de son travail pour vol mais cela n'a pas attiré l'attention des magistrats qui voulaient à tout prix utiliser l'institution judiciaire comme outil pour ce qui est un simple règlement de compte.

Nous avons eu droit à l'instruction uniquement à charge dans le cadre d'une affaire spectacle qui a abouti à une incroyable injustice.

Au TGI de Nice, le dossier de M. MABED était chapeauté par le doyen des juges d'instruction, M. Jean Paul RENARD, qui par la suite a été radié de la magistrature pour sa proximité avec la mafia italienne.

Pour garder un œil véhément sur ce dossier, ce doyen a pris le soin de désigner son amie et protégée (une affaire ultérieure a démontré cela), Mme Christine LORENZINI, pour instruire à charge uniquement et manifester ouvertement sa haine à l'égard de M. MABED.

Deux ans plus tard, les évènements rattrapent cette magistrat puisqu'elle a été désignée comme ayant participé à des soirées chaudes avec des notables niçois qui venaient d'être impliqués dans un trafic de drogue et qui ont menacé, de vive voix, le doyen des juges de divulguer publiquement qu'elle est leur cliente.

De façon médiatique, nous avons appris qu'une enquête du Ministère de la justice a été diligentée sur les liens du juge Christine LORENZINI avec ces notables délinquants mais avec le temps et comme de coutume, l'affaire a été tassée.

C'est cela la justice française qui permet à cette juge de continuer sa mission normalement après avoir violé les règles élémentaires de déontologie, de droit, bafoué la présomption d'innocence, menacé de vive voix un innocent, menacé de poursuite pénale son avocat et fréquenté des notables infréquentables qui ne pouvaient pas la citer sans l'avoir au moins rencontrée.

Le respect du droit pénal est le dernier des soucis de ce doyen des juges puisqu'il a été démontré qu'il a reçu les notables délinquants dans son bureau, sans greffière pour un entretien privé hors cadre légal ce qui est déontologiquement réprimant, éthiquement choquant et formellement interdit par la loi.

Voilà dans quel contexte, le Docteur Rachid MABED a été mise en examen puis en détention, en violation de la présomption d'innocence et des garanties importantes qu'il présentaient.

Le dysfonctionnement de la justice niçoise a été validée par un relais corporatiste digne des plus grands réseaux occultes, jusqu'à la cour de cassation via la cour d'appel d'Aix en Provence et ce, dans le silence complice des médias et des plus hautes instances judiciaires du Ministère de la Justice Française dès 1998.

L'Avocat de Monsieur Rachid MABED a été fermement menacé par le bâtonnier de l'Ordre des Avocats de Nice et par la juge en charge de l'instruction, de se retirer de sa défense faute d'être traduit devant une chambre correctionnelle.

Maître Kambiz HECHMATI dont il s'agit et qui a remis à son client les preuves écrites de cet abus de pouvoir que nous publions ci-joint.

Pourtant, il a été reconnu que la juge Christine LORENZINI, est en couple avec un commandant de la police nationale qui est sous les ordres directs de M. Pierre PETITJEAN qui a déposé une plainte contre RACHID MABED.
C'est à juste titre que Maître Kambiz HECMATI a introduit une requête en récusation du juge devant la chambre de l'instruction et qui a été rejetée illicitement, après avoir reconnu la liaison entre le juge et le policier.
C'est un Déni de justice doublé d'une violation de la loi car, dans ce cas précis, la vie privée du juge d'instruction intéresse bien Maître HECHMATI, puisque sa situation conjugale porte atteinte au droit de la défense comme cela est prévu par la loi en vigueur.

Elle est surprenante cette intervention inappropriée du Bâtonnier de l'ordre des Avocats qui ne doit jamais se mêler du fond des dossiers et qui vient soutenir la juge d'instruction alors qu'il a été élu pour défendre les intérêts des avocats de son barreau.

Vous avez la preuve que cette interférence indicible, inadmissible et illicite, confirme de facto, une conspiration extra-judiciaire !
Menacé par la juge d'instruction et par le bâtonnier de l'ordre des avocats, Maître Kambiz HECHMATI en a immédiatement informé Mme Elisabeth GUIGOU alors Ministre de la justice.

En effet, lors du passage de la Ministre au TGI de Nice, cet Avocat lui a remis en main propre un rapport et cette dernière n'en a donné aucune suite et n'a pas déclenché d'enquête des services, pourtant indispensable.
Aujourd'hui, Mme Elisabeth GUIGOU donne régulièrement son avis sur le respect des droits de l'homme en général, sur la présomption d'innocence sans préciser que pour elle, les droits des personnes sont sélectifs selon que l'on est puissant ou misérable comme le fut à ses yeux M. MABED.

Dernièrement, elle a transmis un courrier à l'ambassadeur de Syrie en France, dans lequel elle faisait la leçon sur le respect des droits de l'homme au gouvernement de Bachar El Assad oubliant qu'elle a ignorait la centaine de lettres que lui a transmis ce moins que rien qui croupissait injustement dans les geôles françaises et qui hurlait son innocence.

En définitive, cette monstrueuse injustice s'est accomplie avec succès grâce au laxisme des autorités judiciaires les plus puissantes au cours de laquelle la panoplie du déni de justice, de l'impunité, du corporatisme manifeste et de la cécité des supposés gardes fous, ont légalisé des violations de la loi que l'on a habillées d'une pseudo-légalité.

L'injustice s'est honteusement banalisée lorsque la chambre de l'instruction a trouvé un subterfuge pour violer la loi qui imposait aux magistrats de remettre en liberté provisoire, immédiatement, M. MABED pour avoir été détenu sans jugement au-delà d'un délai raisonnable.

En refusant de répondre à la question posée sur l'article 367 du Code de Procédure Pénale, cette chambre de "torture" a validé une violation de la loi par une ordonnance de refus contenant des arguments hors sujet mais qui respectait une forme juridique.

Plus précisément, ces honorables hauts magistrats ont délivrés une ordonnance qui ne souffre d'aucune irrégularité puisque le forme juridique est respectée mais rien n'indique dans cette décision que ces juges ont refusé de répondre à l'application de l'article de loi précité, ce qui est évidement un déni de justice.,

La publication des pièces originales du dossier de M. MABED contenant le certificat médical falsifié par la plaignante, le médecin traitant qui contredit sa cliente ouvertement sur l'existence d'un viol conjugué à la mise en relief des innombrables contradictions bizarrement balayées d'un revers de manche par la magistrature alors qu'elles constituent des éléments de preuves incontournables de son innocence, va démontrer qu'un très grave dysfonctionnement a eu lieu au niveau de tous les stades de la procédure pénale.

En aucun cas, il ne pourrait s'agir de multiples erreurs de jugements mais bien d'un abus de pouvoir manifeste avec des violations volontaires de la loi pour nuire à une personne dont l'innocence est une lapalissade.

A ce moment et fort de ce déni de justice caractérisé, nous tenons la preuve que dans ce cas précis, l'institution judiciaire de la république française a servi comme outil pour un règlement de compte mafieux.

Pour la suite cliquez sur ce lien

http://monstrueuse-injustice.blogspot.com/

dimanche 2 octobre 2011

LES 21 PREUVES DE L'INNOCENCE D'UN CONDAMNE PAR LA MAFIA JUDICIAIRE NICOISE SOUTENUS PAR DES JUGES CORROMPUS D'AIX EN PROVENCE

UN ARABE QUI A DÉRANGE LES PRATIQUES ASSASSINES DE LA POLICE RACISTE NIÇOISE

Les magistrats  ont condamne un militant qui a dérangé l'ordre établi à Nice alors que son innocence est une lapalissade 

Vous avez les 21 Preuves qui prouvent l'innocence indiscutable du Docteur Rachid  MABED et vous allez voir bientôt comment les droits de la défense ont été bafouées.

Prenez en connaissance sur le site
http://www.monstrueuse-injustice.net/21-preuves-innocence.htm

Voila l'appareil judiciaire français qui est désigné à travers le monde comme un paradis de justice qui est supposée être loyale et républicaine.

C’est toujours après coup que les dysfonctionnements de la justice apparaissent au grand jour comme ce fut le cas de la disparition d’Agnès LE ROUX à Nice ou de l’affaire des acquittés d’Outreau.
Dans le cas qui touche à le dossier RACHID MABED, les dysfonctionnements judiciaires ont atteint leur paroxysme car l’esprit corporatiste a mis en péril l’équilibre de la justice et le bon fonctionnement de l’institution.


N'oubliez pas de prendre un cachet médical avant de lire les 21 Preuves indiscutables contenues sur le site US.
CLIQUEZ SUR LE LIEN SUIVANT: 

http://www.monstrueuse-injustice.net/21-preuves-innocence.htm







mercredi 8 juin 2011

DOCUMENTS JUSTIFIANT LE DYSFONCTIONNEMENT ET LETTRES ECRITES DE PRISON PAR RACHID MABED, TRANMISES AUX DIFFERENTES AUTORITES FRANCAISES ..... ...... CEUX LA MEME QUI CONDAMNENT LE MEXIQUE DANS L'AFFAIRE FLORENCE CASSEY.

Dominique bréjoux

Voici une preuve supplémentaire prouvant que le Président de la cour d'assises d'appel de Draguignan, M. Dominique Alain BREJOUX, qui a insulté RACHID MABED en pleine audience puis l'a traité de négrier devant témoins avant de le condamner à tort, a par la suite violé les lois de la république lors d'un autre procès. 
 LA LOI C'EST LUI !


Vous constatez qu'en parfaite violation de la loi qu'il ne pouvait pas ignorer, le président de la cour d'assises, M. Dominique BREJOUX, a déjeuné avec un juré en tout impunité. Il n'a pas été sanctionné par sa hiérarchie alors que cela aurait dû être pris très au sérieux par le ministère de la justice car c'est très grave pour un magistrat assermenté. 

LE GARDE DES SCEAUX A LAISSE FAIRE.

C'est ce magistrat qui a présidé les débats d'assises de l'affaire MABED alors qu'il n'en était pas habilité à le faire pour 2 raisons juridiques :
1- Une plainte avait officiellement été déposée contre lui avant l'audience d'assises, devant le parquet de Draguignan, pour insultes, partialité et propos discriminatoires, lors d'une audience précédente.
2- Une requête en suspicion légitime (publiée ci-dessous) avait été déposée 10 jours avant l'audience d'assises et notifiée à toutes les parties. Donc , juridiquement ce magistrat ne pouvait pas présider tant que la cour de cassation n'a pas notifié sa réponse sur la requête déposée.


la loi a été violée par ce magistrat, par la chambre de l'instruction qui a laissé faire et par la cour de cassation qui a validé ce jugement entaché d'irrégularité.

Voila comment le jugement de condamnation de RACHID MABED devenait illicite, et en confirmant ce verdict de la cour d'assises d'appel, évidemment, la cour de cassation s'est mise hors la loi.


VOICI UNE LETTRE ÉCRITE EN PRISON  PAR RACHID MABED ET TRANSMISE AU DIRECTEUR DÉPARTEMENTAL DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE DES ALPES MARITIMES




CI-JOINT,  LA PLAINTE OFFICIELLE DEPOSEE PAR LE DIRECTEUR GENERAL DE LA POLICE NATIONALE DE TOUT LE DEPARTEMENT DES ALPES MARITIMES.



LETTRE ÉCRITE DE SA CELLULE PAR RACHID MABED ET TRANSMISE AU MINISTRE DE LA JUSTICE, DOMINIQUE PERBEN QUI, EN RÉPONSE, A APPUYÉ CETTE DÉRIVE EN ÉTABLISSANT UNE SÉVÉRITÉ INHUMAINE POUR LES DEMANDES DE LIBERTÉ PROVISOIRES.











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jeudi 2 juin 2011

L’AFFAIRE RACHID MABED

Innocent, un militant actif pour la défense des droits de l'homme, a été jeté en prison pour un crime fictif suite à une combine "Préfecture-Police-Justice". Ancien membre d'Amnesty international du groupe 231 et membre de bureau de l'Amicale des algériens en Europe, son vrai crime est d'avoir été été un militant déroutant pour le chef de la police des Alpes maritimes.

En un peu plus d'une décennie, Rachid MABED a dénoncé 27 bavures policières dont un meurtre par arme à feu tiré sur la nuque d'un sans papier Algérien (M. LOUCIF de constantine) à l'intérieur du centre de rétention de Nice, une affaire de pédophilie dans laquelle était cité personnellement le doyen des juges d'instruction qui avait la charge de ce dossier de pédophilie et un grave raté de la DST locale, dans une affaire de terrorisme.


Pour chacun des abus policiers, Rachid MABED a envoyé des centaines de courriers à destination de toutes les institutions civiles et morales de France, il a organisé une manifestation dans les rues de Nice pour dénoncer l'assassinat de M. LOUCIF dans les locaux de la police et il a créé un comité de soutien efficace pour libérer M. Miloud BENCHIHA de la prison de la santé où il croupissait pour un delit de terroriste fictif sans preuve. Le résultat fut immédiat car Miloud BENCHIHA a vite été libéré.


Cette libération fut l'action de trop pour les autorités xénophobes qui se devaient d'éliminer définitivement ce militant faute de voir leur politique dévoilée au grand jour.
De surcroît, ces dénonciations répétitives qui ont été à l'origine de certaines enquêtes des services, devenaient insuportables pour les autorités racistes locales.


Il fallait à tout prix agir pour mettre un terme aux activités militantes dévastatrices de ce militant irreprochable qui empêchait le nettoyage éthniques des envahisseurs algériens désignés comme responsables de l'insécurité.

La côte d'azur se voulait être blanche et compatible qu'avec la chrétienneté du chef de la police nationale qui s'est vanté publiquement d'avoir fait ses classes en Algérie coloniale.


Soutenu par le chef de cabinet du Préfet des Alpes Maritimes, le patron de la police M. Pierre PETITJEAN, a usé de son influence au sein de l'appareil judiciaire dont faisait partie les juges, Jean Paul Renard et l'épouse de son subordonné Mme Christine LORENZINI, pour fabriquer un coupable.

INTRODUCTION

Dans une démocratie digne de ce nom, il est impossible d'admettre que la justice puisse un jour devenir un moyen efficace pour une oligarchie locale afin d’éliminer un militant qui gêne énormément les autorités locales par ses nombreuses dénonciations d’atteintes aux droits de l'homme.

Le préambule de la déclaration universelle des droits de l'homme, le principe théorique de la séparation des pouvoirs, le respect de la déontologie, l'éthique implicite des juges et le cocorico des démocrates français qui s'accommodent de la façade lumineuse de la France respectueuse des lois de la République, servent toujours d'arguments pour prouver qu'il ne peut pas exister de pratique illicite au sein de la justice.

Cependant, lorsque des éléments de preuves irréfutables viennent justifier une polémique sur un dysfonctionnement avéré alors il devient évident que l'affaire incriminée devient aux yeux de la magistrature et des autorités de la chancellerie, une injustice rare comme ce fut le cas pour l'affaire d'Outreau.

Le Code Pénal français stipule: " mieux vaut 100 coupables en liberté qu'un seul innocent en prison".

Tout le monde s'émeut d'une incarcération injuste, d'une condamnation inique et de la souffrance d'une personne innocente mais l'exonération de la responsabilité des magistrats, vient vite montrer les limites d'un appareil judiciaire qui reste livré à lui-même.

Voilà le quitus qui fait du système judiciaire français, une propriété personnelle des juges qui ne tolèrent jamais une ingérence sur les dysfonctionnements ou les abus volontaires d'autorité.

En France les quatre pouvoirs émergeant, n'aiment pas se mesurer entre eux au point où la déontologie finie par devenir un principe de négociation et d'arrangement, qui assure à chaque système d'imposer ses règles avec ses déviations.
Nous ne sommes pas dans un système d'exclusion réciproque entre ceux qui violent les lois de la république et ceux qui les respectent profondément mais dans un blog complémentaire ou chacun tire profit de la négligence de l'autre.

PERSONNALITE DE RACHID MABED

Monsieur Rachid MABED est né à ALGER (Algérie).

M. MABED est marié, père de deux enfants mineurs, l’un est né à Kouba en 1991 et l’autre est né à Nice en 1994.

Actuellement, M. MABED a saisi le tribunal pour obtenir le divorce de sa femme infidèle avec son soit disant ami Monsieur Malek BOUALEM (Docteur de l'université de Nice).
Cet habitué de la traîtrise, avait déjà trahi sa compagne PASCALE qui l'avait soutenu durant ses études post universitaires et c'est en toute logique qu'il a trahi Rachid qui lui a fait obtenir par intervention, une bourse d’études au moment ou il était sans le sous. Passer des soirées dans le lit conjugal pour un homme qui se dit aujourd'hui musulman pratiquant, relève de la pratique du diable.


Rachid MABED est séparé de son ex épouse depuis 1998 et cette dernière tente de bloquer la procédure de façon vénielle.

Malheureusement, M. MABED n’a pas vu grandir ses enfants à cause de son inique incarcération et il n'a plus eu de contacts avec eux depuis 1998.

Il est titulaire d’un Doctorat délivré par l’Université de Nice et titulaire du certificat de la Communauté européenne délivré par l’Institut Européen des Hautes Études Internationales après avoir suivi durant une année entière avec stage, les cours de troisième cycle de droit Européen à l'IEHEI de Nice.

Il a été chercheur pendant plus d’une décennie à l’Université de NICE et a publié plusieurs articles scientifiques au niveau national et aux journées internationales.
Il était enseignant à l'I.U.T de Nice, de Sophia Antipolis, de Cannes, Professeur à l’Ecole Supérieure de Commerce de NICE, Conseil en gestion au sein de son entreprise individuelle et directeur des deux hôtels sur Nice (3 étoiles).

Monsieur Rachid MABED a un casier judiciaire vierge et de toute sa vie de citoyen, il n’a jamais été condamné.

Le Docteur Rachid MABED est Algérien donc musulman avec tout ce que cela implique lorsque l’on connaît le racisme sur la Côte d’Azur.

Ce racisme, qui est un secret de polichinelle dans ce fief Front National du Sud de la France, a déjà été officiellement dénoncé par le canal de la télévision locale de France 3.

Dés son arrivée en France en 1981, il s''est rapproché spontanément des associations caritatives et il a vite intégré l'amicale des Algériens en Europe et en parallèle Amnesty international.

Le Docteur MABED a été membre de l’Amicale des Algériens en Europe, responsable de la jeunesse et durant ses mandats, il n’a eu de cesse de combattre le racisme.
Il a fait connaître aux autorités civiles et morales de France ainsi qu’aux Ambassades concernées, tous les abus de pouvoirs de la police locale avec, à la clé, un article de presse dans la revue Actualité de l’immigration (Les droits de l’homme et la police niçoise).

Il a été membre actif d’Amnesty International et aussi délégué de son groupe de Nice. Sous le parrainage d’Amnesty International.

Sous l'égide de la section de niçoise d'Amnesty International, M. MABED fut à l’origine des tournois de football caritatifs avec les équipes de jeunes du district de la Cote d’Azur et de la participation active à ces tournois de nos généreux anciens arbitres internationaux de football : Michel KITABDJIAN, Claude COLOMBO et Gilles VESSIERE.
Il a passé des nuits à rédiger des courriers en faveur des prisonniers politiques dans le monde entier tout en se refusant d’aborder les sujets Algériens pour des raisons d’objectivité.

Il a été arbitre officiel du district de la Côte d’Azur pendant 14 ans pour satisfaire sa passion du ballon rond après avoir longtemps pratique le football.

Sa carrière amateur a débutée au RC Kouba (club de la banlieue d'alger) pour s’étendre progressivement au club de l’OMR (Ruisseau)et au club de Football de LARBA en Algérie.

Cette description amène le lecteur à avoir une image proche de l’homme de cœur, toujours prêt à aider son prochain (des dizaines de témoignages de personnalités), à soutenir ses compatriotes et à sacrifier tous ses week-ends pour les nobles valeurs du sport ainsi que celles de la défense des droits de l'homme.

Ce volet de la personnalité n’a jamais été évoqué lors des jugements car la justice avait pour souci de fustiger la personne du Docteur MABED de façon à occulter le vide du dossier pénal.

En dépeignant un homme violent, fourbe, pervers, menteur, malade mental, la question ne se pose plus de savoir est-ce que le Docteur MABED est coupable et s’il existe des éléments dans le dossier pénal, susceptibles de justifier une condamnation.

Pour l’oligarchie locale, le Docteur MABED est l’emmerdeur par excellence au point où l’ancien directeur de la sécurité publique de la police nationale de Nice, aujourd’hui à la retraite anticipée, a dû s’expliquer devant la police des polices.

Ce sinistre personnage, raciste dans l’âme n’a pas omis de mentionner dans le journal local toute sa nostalgie de la colonisation en Kabylie, où il a eu un passage qu’il ne faudrait sûrement pas approfondir.




PERSONNALITÉ DE LA PLAIGNANTE, PROTÉGÉE DE LA POLICE

Madame Hager DRIDI est née le 23 Mars 1962 à Tunis, de nationalité Tunisienne et elle est employée comme femme de chambre dans l'hôtel dont le directeur était Monsieur Rachid MABED.


Elle est divorcée d'un Algérien actuellement décédé dont elle a eu deux enfants.

Elle a eu un garçon et la fille qui a reconnue devant la police, avoir menti en accusant M. MABED de viol. L'affaire ayant été classée sans suite.

Elle est connu des services de la police pour avoir été condamnée pour un trafic de stupéfiants en 1990. Une descende de la brigade des stupéfiants en son domicile a découvert de la drogue et d’une somme importante d’argent qui a été confisquée.
Hager DRIDI a été condamnée dans cette affaire de stupéfiants par le TGI de Nice. Par la suite, elle a reconnu cette condamnation devant l’expert psychologue qui l’a mentionné dans son rapport d’expertise qui est côté dans le dossier criminelle à l’origine de mon incarcération.
De surcroît, M. André RIBES ancien substitut du parquet de Draguignan a reconnu devant les jurés, Madame Maryse CHIAIS (conseil), Maître Isabelle COUTANT (PEYRE) ainsi que des témoins de la cour d’assises d’appel, que Mme Hager DRIDI a bien été condamné pour trafic de stupéfiants mais que sa condamnation ne figure plus sur son casier judiciaire.

Son frère DRIDI Khaled avait été immédiatement incarcéré à la maison d’arrêt de Nice et son concubin M. M’Saddek BELHABIB interpellé dans ce dossier.

Les enfants de Hager DRIDI ont été mis sous la protection AMO, des services sociaux de la mairie de Nice. Cela indique la moralité de cette plaignante qui n’a pas hésité à faire obstruction à la justice avec la connivence manifeste du Président la cour d’assises d’appel de Draguignan.

Nous y reviendrons avec détails ce dernier point ...


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